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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 16:28

Bonjour à toutes et a tous,

voici un poème envoyé par un ami stéphanois,  Alain CALLET...

 

"un peu de lecture pour les gagas "Sympa, même si "j'y ai pas tout pané"...!

(libre transcription stéphanoise)
Le corbeau et le renard

 

 

corbeau et renard
Dans les bois du Pilat, y'avait un babiele de corbeau qu'avait le babaud

et barontait sur un fayard qu'était caffi de babets.
Dans une boge y tenait une rigotte pleine d'artisons qu'il avait du tirancher à la Jeanne de Doizieux,

pendant qu'elle écartait son linge.


La rigotte elle était toute ébouillée, qu'on aurait dit qu'elle venait de la gandouse.

 

A travers une coursière, un renard faisait son viron en débaroulant du crassier de MEON,

au pas de la manu,en tachant moyen de remplir son gandot.

 


"Ca changera des racines se dit cette jarjille!!!! Alors y z'attaquent une piaillée.... "

 

- Alors mon belet ça broge?? Tu me fais tirer peine.

- Fouilla, j'arrête pas de gueniller, ma matrue est un vrai garagnat; elle esttoute émaselée,

beauseigne,elle arrête pas de quiner,et ça me fout la lourde!!!!!

- Fouyaya, mais t'es franc joli que t'as mis tes roupiannes du dimanche.

 

 - Je vais pas t'aquiger mais si tu basseuilles aussi bien que t'es beau comme un litre,

on va te nominer le champion des rapetarets de Sainté!!!!

Quand il entend ça, le machuré à plume y se sent plus.
Il devient tout bayard et il a les quinquets tout gonfles, bref y prend la grosse tête.
Alors y prend un grand bol d'air et ouvre tout grand son caquet pour beurler quéque aneries.
Et vlan,v'là la fourme qui débaroule tout de traviole sur les barabans, miladzeu!!!!!!!
Le rouquin à cacasson qui voulait pas rentrer à point d'heure, y saute sur la tomme et s'en met une pleine ventrée.
Quand il est couffle, y se met à jabiasser et dit à l'autre bayayet, qui en a les ébarioles :

 

  - Pauvre badabeu, écoute moi rien que, quand tu broges, un tant soit peu,

dit toi qu'il y aura toujours des faramelans qui viendront te camphrer pour tacher moyen

de te piquer tes yas ou pour chicoter dans ton gandot.


 - C'est pas la peine de tauner, ce que je viens de te piailler valait bien un mate-faim, pas??

- Alors mainant que t'es éjaillé, fais pas la bobe et prend pas la lourde.

- Alors sans adieu,grand bazut!!!!!"

 


jean_de_la_fontaine_small.jpg

Jean de La Fontaine

(libre transcription stéphanoise)

 

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2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 17:03

 Pour expliquer la notion de parenté de Joseph Masson avec un certain nombre de familles JAC originaires de la Haute-Loire, il faut remonter à l’une des filles de Rosine SAURET de la Bastide qui épousa Louis JAC, originaire de SALETTES.
N’ayant pas la copie exacte de son acte de naissance je ne peux qu’estimer sa naissance en 1889, mais il est probable que la date du 24/03/1889 soit la bonne et le lieu est UNIEUX (42).
Par contre il y a un doute sur ses prénoms en second : « Jean Marie Joseph » ou « Joseph Jean Pierre » ???? Je penche pour Jean-Pierre.

 
Jusqu’à sa dernière extrémité, Joseph MASSON a été un militant, au sens noble du terme. Il est décédé en 1969 à l’âge de 80 ans.

 

Directeur d’Ecole honoraire, il avait été révoqué par le Gouvernement de Vichy et réintégré à la Libération, après avoir résisté à l’occupant  au sein de « Coq Enchaîné ».

 

Pendant plus d’un demi-siècle, il a défendu avec conviction, sincérité et  désintéressement l’idéal laïc, ce qui lui avait valu d’être porté à la vice-présidence d’honneur des délégués cantonaux et à la présidence des anciens de le « Sup ».

Défenseur infatigable de toutes les causes justes, il était aussi le Secrétaire de la Ligue des Droits de l’Homme.

Joseph MASSON était enfin membre du bureau de l’Union fédérale des Anciens Combattants, secrétaire général de la Fédération des retraités, membre du bureau de la Libre Pensée, et Officier d’une loge maçonnique.

 

C'est dire que ses activités étaient nombreuses, et partout, Joseph MASSON apportait sa foi profonde en un idéal fait de justice, de paix et de fraternité humaine.

 

Au lendemain de la Libération, il a été Adjoint au Maire de Saint Etienne, sous la municipalité du Docteur MULLER, puis Conseiller Général de 1945 à 1951.

 

La cérémonie d’inhumation a eu lieu dans les locaux de l’Amicale Laïc de DORMAND. A moins de reprendre en détail le déroulement de cette cérémonie il est impossible de citer toutes les personnes présentes tant elles étaient nombreuses. Six allocutions ont été prononcées :

  

-          Par Monsieur BOURSEYRE, au nom de la fédération des retraités.

-          Par Monsieur LANGLOIS, président du syndicat des apiculteurs de la Loire qui rappela que Joseph Masson avait été vice-président de cette association depuis 35 ans.

-          Par Monsieur BUARD, président de la F.O.L. au nom des associations laïques de la Loire, il rappela aussi l’activité du défunt au sein du « Coq Enchaîné ».

-          Par Monsieur PAYEN, vice président de la fédération des délégués cantonaux.

-          Par Monsieur GARRIGUET, au nom des loges maçonnique, insistant sur le sens social, fraternel et humain de Joseph MASSON, dont la vie maçonnique fut marquée par deux sommets : sa révocation par Vichy et la présidence d’une loge stéphanoise.

-           Par Monsieur ARBAUD enfin, au nom de la Libre-Pensée.

 

 Joseph MASSON a été incinéré à Lyon, selon ses dernières volontés. Il laisse à coup sûr un grand vide tant par sa vie publique que par sa vie familiale pour ceux qui l’ont bien connu et aimé.

 

  

  « Adieu Joseph, toi qui a marqué mon enfance dans la Loire et la Haute Loire. »
 

 

 

 

 

Informations recueillies par Jean-Claude DESTAGNOL
Cousin de Joseph MASSON, branche issue de Rosine JAC née SAURET de la Bastide.

13/03/2009

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1 décembre 2007 6 01 /12 /décembre /2007 12:42

 






 

Le site sur les communes :

http://www.gencom.org

 

Les sites de généalogie et de l'histoire :

http://www.geneal42 ,
http://www.geneal43 ,

http://geneal63.chevalierj.info ,
http://geneagier.com ,

http://stella.giraud.free.fr/geneal15/

 

Le site association « Ceux du Roannais » :

http://www.ceuxduroannais.org 

 

Le site de l'Ardèche :

http://geneal.07.free.fr/ 

 

Le site du Puy de Dôme :

http://fr.groups.yahoo.com/group/listegeneal43/ 

 

Le site du Puy de Dôme :

http://fr.groups.yahoo.com/group/listegeneal43/ 

 

 

batiments-et-institutions-le-puy-en-velay-france-1206629318-1126376.jpg

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23 mai 2007 3 23 /05 /mai /2007 15:23

Oui, écrit avec deux « R » et un seul « L », mais au fil du temps les patronymes évoluent et s'écrivent différement. Mais que sait-on de cette souche « BARALLON » aujourd’hui ?


Porté dans la Loire et la Haute-Loire, le nom s'écrit aussi Baralon, Barrallon, Barralon. C'est sans doute un toponyme, diminutif de "barralh" (= enclos, palissade en occitan). Le terme "barralhon" peut aussi désigner un banc de sable à l'extrémité d'une rivière. Un dérivé de "barral" (= tonneau) est possible, mais plus improbable. La famille noble venue de Saint Genest Malifaux est considérée comme éteinte, mais des "Barallon" sous différentes écriture existent dans la région de nos jours.

 Vous avez encore une date butoir dans vos recherches c'est l'ordonnance de Villers-Cotterêts, en effet c'est entre le 10 et le 15 août 1539 que le roi François 1er signe une ordonnance de 192 articles dans son château de Villers-Cotterêts.

Cette ordonnance très importante : Elle institue en premier lieu ce qui deviendra "l'Etat Civil "en exigeant des curés des paroisses qu'ils procèdent à l'enregistrement par écrit des naissances, des mariages et des décès. Une innovation dont les généalogistes mesurent pleinement la portée !

L'ordonnance établit par ailleurs que tous les actes légaux et notariés seront désormais rédigés en français. Jusque-là, ils l'étaient en latin, la langue de toutes les personnes instruites de l'époque.

au-dela-des-annees-1540.jpg

 

 

 Cela implique toutes les difficultées pour remonter au-delà des années 1540 puisqu'il n'y avait rien OU PRESQUE sauf les archives privées appartenant à la noblesse.

 

 

La famille « Barallon » serait originaire de Saint-Genest-Malifau, mais elle est venue s’établir à Saint Etienne où elle fit une fortune considérable et y obtint ses premières charges.

Régionalement, la famille « Barallon » serait originaire de Saint-Genest-Malifau, mais elle est venue s’établir à Saint Etienne où elle fit une fortune considérable et y obtint ses premières charges.

Jacques BARALLON, l'un des derniers membres de cette famille, a su se faire valoir comme personnage le plus remarquable de cette famille. Il aimait les grandeurs, et n'en trouvait pas autour des lares paternels, il fut les chercher plus loin et acheta une charge de Hérault d'armes de France du titre d'Alençon, ce qui lui donna un reflet de noble viager.

Non satisfait de cette qualité dont il se pavanait, il la dissimula en se qualifiant « d'Officier chez le Roi », ce qui ne précisait rien et laissait entendre ou supposer tout ce qu’on voulait. 

Il fut même assez osé, en quelques occasions, pour faire précéder le nom de Barallon de la qualification de Messire.  Alors, nouveau marquis de Carabas, tout bouffi de prétentieuse importance et accablé sous le poids des galons de soit habit de cour, il alla demander la main de Claire de Grézieu.

Ce n’était pas la première fois que des maisons, chargées de filles, écoulaient cette « marchandise » comme elles pouvaient.  Dans des cas semblables, la dot était vite comptée, au grand contentement du pauvre père qui voyait par là finir son embarras sur le sort de ses filles, et l’hérédité qu’il ménageait à son fils aîné point trop ébréchée par les exigences de son gendre.

Mais Jacques, il faut en convenir, n’était pas le moins content de tous, la tête lui tourna, au dire de beaucoup de personnes qui l’ont connu. il avait une belle fortune, et possédait , entre autres propriétés, celle du Soleil, autrefois du Solier, qu’il aménageât à l'instar des jardins princiers.

Il y fit construire une chapelle au fronton de laquelle il fit sculpter de magnifiques armoiries, dans les plus larges proportions. Ses profusions ne lui permirent pas de garder ce diamant, mais son fils ayant hérité de son oncle (à Saint Just-sur-Loire) d'une belle propriété audit lieu, Jacques s'y installa et, en vertu de la puissance paternelle, obligea son fils à passer vente tantôt d’un pré,, tantôt d'une terre, dont le prix servait à soutenir dignement son titre de Messire Barallon, Officier chez le Roi. La famille fit alors partir le fils pour Paris, afin de mettre un terme à toutes ces ventes partielles qui allaient amener la perte totale de la propriété.

Jacques , on le voit, n’abondait plus en numéraire, et s’il eût voulu marier ses nombreuses filles, peut-être en eût-il été bien empêché ; mais sa manie de noblesse lui servit de quelque chose cette fois, car vainement des parties souhaitables se présentèrent, et jamais Il ne put se résoudre à donner à des marchands ou à des bourgeois des demoiselles Barallon  de Grézieu.  Tant et si, bien qu'aucune ne se maria. L'une d'elles avait été demandée par M. R*** qui plus tard fit cette fortune colossale qui subsiste encore dans les mains de ses petit-fils.

Jacques regarda même cette demande comme une insulte ; mais quand ensuite la pauvre jeune demoiselle , devenue vieille fille, vit la fortune et la position qu’elle avait manquée, sa tête, ébranlée par la secousse, confondant désormais mais les temps et les choses, se figura qu’elle était toujours à ces heureux moments où le jeune R*** lui offrait son cœur. Elle a vécu plus de 80 ans.

Deux autres de ses soeurs épousèrent à I'âge de 60 ans, l’une un grand oncle, l’autre un grand-père; une quatrième mourut fille et très âgée.

Les enfants de Jacques Barallon et de Claire Berardier de Grézieu furent :

Antoine-Charles ;

2° Marie-Thérèse Barallon ;

3° Marie-Marguerite-Claire Barallon ;

4° Marie-Françoise-Barthélémie Barallon ;

5° Antoinette Barallon ;

6° Marie-Marguerite Barallon.




Armes des « Barallon de Grézieu » :

« d’argent, au lion de gueules, à la cotise d’or brochant sur le tout ». 


La partie historique ci-dessus est extraite de l’Armorial généalogique des familles de Saint Etienne, avec chroniques des châteaux et des abbayes publié par Jean Antoine de la Tour Varan dont je pourrai vous parler d'ailleurs dans quelques temps.

 

  (A suivre....)

Jean-Claude DESTAGNOL - Les Terres Rouges
42170 Saint Just Saint Rambert -
marald1@sfr.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



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17 décembre 2005 6 17 /12 /décembre /2005 19:05
Une branche des MONTLAUR
sur Montlaur en Val page d’histoire
et résultats d’une enquête sur place.
 
Vers 1254, la Reine Blanche de Castille étant décédée, Saint-Louis se hâta de rentrer en France.
 
En cette période, entre Narbonne et Carcassonne, on cherchait de nouveaux propriétaires pour les terres laissées vacantes par « les hérétiques ».
Divers habitants de Montlaur, se virent adjugé Le Pontil, Gavart, Matte, Laprade, Lauret ou La Mire, saint-Rome, Casalée ou les Casals, sous la tasque du neuvième des fruits du Roi et certaines censives. Roquenéguade fut donné à la famille Daban, avec d’autres biens situés à Labastide et à Villetritouls, ainsi que la Seigneurerie de Moux.
Cadoual, confisqué à Bernard de Montlaur fut donné aux frères Pons et Hugues de Castillon.
Pierre de Montlaur, faydit mais réconcilié, avait suivi Olivier de Termes à la Croisade. Peut-être put-il aborder le Roi au Camp de Sidon et le fléchir en faveur d’Aymeric, son fils.
Saint-Louis s’intéressa à cette période à la famille de Montlaur. Le Roi rendit la liberté à Aymeric, et lui rendit aussi le Seigneurerie de Montlaur.
Mais Saint-Louis se rendit compte très vite qu’Aymeric ne répondait pas à son attente et était plutôt du genre « agitateur ».
Il décida de le déplacer et il lui offrit la place de Brenac. Son offre fut acceptée, l’acte d’échange de Montlaur contre Brenac fut passé en décembre 1260 à Montréal (cet acte est intéressant par le fait qu’il donne pour la première fois les « confronts » de Montlaur à cette date). La confirmation de cet acte se fit en 1261, en la Chapelle royale de Saint-Blaise de la Cité de Carcassonne.
Il ne resta à Montlaur, que la branche cadette de Raymond de Montlaur dont la veuve Guerréjade, put jouir de quelques biens viagers. Leurs enfants restèrent, les uns sur place les autres se dispersèrent.
 
En 1270, un Guillerme de Montlaur est membre du conseil général des habitants de Narbonne et a son nom inscrit dans un acte de cette ville relatif à la traite des grains.
 
En 1275, Catherine de Montlaur est religieuse de Prouille.
 
En  1286, un autre Aymeric de Montlaur est moine de l’Abbaye de Lagrasse.
 
Vers l’an 1293, un Jean de Montlaur est syndic et procureur des habitants de Lagrasse.
 
A la même époque un Arnaud de Montlaur est commandeur des Templiers à Caignac.
 
En 1300, un (ou une) Magne de Montlaur est abbesse des Olieux (Ile Ste Lucie).
 
En 1398, encore un autre Aymeric de Montlaur occupa la même charge. (Ce qui laisse bien supposer que cette charge d’abbesse était remplie par un homme…) D’ailleurs, les documents indiquent qu’eux-mêmes y avaient été précédés par Géraud de Miramont en 1225 et Sicard de Miramond en 1255.
 
En 1309, un Jean de Montlaur est archidiacre de Maguelonne.
En 1321, un Jorniq de Montlaur est Commandeur à Condat.
En 1336, une Rixende de Montlaur est religieuse à Prouille.
 
 
L’autorité Royale entre temps n’était plus représentée par Saint-Louis mais par Philippe le Hardi, qui ne se pressa pas d’exécuter la sentence de 1215 ramenant  Montlaur sous l’autorité de l’Abbaye de Lagrasse.
 
Une première fois elle  inféoda Montlaur à Hébert de Médione (ou de Meung ?) pour sa vie seulement.
L’Abbé de Lagrasse qui, au lendemain de départ d’Aymeric, avait exigé l’hommage des habitants de Montlaur, ne manqua pas de protester et de réclamer son fief. Il fut convenu que l’Abbé paierait en une fois la somme de 300 livres et que le fief lui reviendrait une fois Hébert mort… Ce fut une autre déception pour lui !
 
Un autre Chevalier, et cette fois bien plus méritant, demanda récompense et Montlaur lui fut donné en 1285.
 
L’acte de cette donation fait remarquer que Simon de Melun, car il s’agit de lui, avait deux vassaux : Raymond Alban (ou DABAN) à Roquenegade, et Raymons CABON (ou CAPBON, damoiseau à Donneuve). Entre les deux, l’identité du prénom semble révèler une parenté peut-être…
 
Simon de Melun et sa femme Marie gouvernèrent bien, ils affranchirent la commune et l’organisèrent, ils se firent aimer et même regrettés…
 
Que se passa-t-il alors ?
Auger de Gaugens, Abbé de Lagrasse tenta un très gros effort financier et offrit à Simon de Melun pour son désistement la forte somme de 4500 livres.
Simon de Melun pour le somme d’argent, mais peut-être aussi par remords de conscience, en raison du bon droit de l’Abbé, se laissa gagner et consentit à la vente en 1290. Le Roi Philippe le Hardi ratifia ce contrat dans l’année même.
Simon de Melun avait cependant dans cet acte de vente avait réservé les droits de Bernard de Capendu et ceux du Roi. Pour lui-même il s’était réservé, songeant sans doute à de possibles combats futurs, le droit de lever milice dans le pays.
Les droits de Roi n’étaient pas perdu, Phimippe le Hardiu se considéra comme le Suzerrain de l’Abbé de Lagrasse. Ce dernier par exception pour Montlaur, était vassal de Roi de France et il lui fit hommage et serment de fidélité.
 
Dès que l’Abbé de Lagrasse, par son achat à Simon de Melun, devint Seigneur direct et immédiat de Montlaur, il chercha à renouer avec l’ancienne famille seigneuriale des Montlaur et à la remettre en relief.
 
En 1292, l’Abbé donna à « fiefnoble » à Pierre de Montlaur, celui-là même qui avait été à la Croisade et à son fils, se disant chirurgien (?) les terres de Montlaur situés à La Prade, à Villalaur, au Pré de Clarou, à Pratmaour, à Lavamas, à Gavart, aux Fontanelles, aux Rosaires, et enfin un jardin à l’Horte de Rigals…
 
(à suivre)                                                                  
Jean Claude DESTAGNOL – marald – 09/2005
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17 décembre 2005 6 17 /12 /décembre /2005 18:36
La famille en 1890 au château de Labastide
Les SAURET de LABASTIDE


 
Rosine, Marie, Charlotte SAURET DE LABASTIDE
est née le 07/10/1834 à VIELPRAT 43, et est décédée le 27/07/1889 à VIELPRAT 43.
 
Commentaire sur le personnage :
 
Date de son mariage : 13/08/1856. Elle avait 22 ans.
Elle épouse JEAN LOUIS JAC,
celui-ci est né en 1827 à SALETTES, lieu-dit COSSANGES, il devait mourir en 1903.
 
Rosine est décédée à l'age de 65 ans le 27 juillet 1889 à 11 heures. Elle semble avoir eu 13 enfants...!!
 
Elle est la marraine de la cloche encore pendue en l'église actuelle de VIELPRAT,
Cette cloche est baptisée la "JEANNE-ROSINE".
 
Question non résolue :
Affaire de famille en 1856...dans laquelle apparaissent plusieurs personnages dont une MARIE GIRAUD.
 
Ascendant clé de la descendance des "JAC DE LA BASTIDE" Conjoint :
Jean Louis JAC né en 1827 à SALETTES 43, décédé en 1902 à VIELPRAT 43
 
Commentaire sur le personnage :
Marié avec Marie Charlotte Rosine SAURET DE LA BASTIDE, le 13/08/1856.
Enfants : 12 à 14 frères et soeurs ???
 
Père : Jean Louis JAC (1801-1887)
Mère : Suzanne JOLIVET (1800-1871)
Soeur : Rosalie JAC (1831-1865)

Il a reconstruit l'église de VIELPRAT en 1869.
 
Mariage :
Leur union a été célébrée le 13/08/1856 à VIELPRAT 43.
 
 
Enfants :
MARIE JOSEPHINE, LOUISE, ANASTASIE JAC née le 28/07/1857 à VIELPRAT 43, décédée le 05/08/1873
MARIE ZOE JAC née le 12/04/1859 à VIELPRAT 43, décédée le 25/08/1860
MARIE CLARISSE JAC née le 28/10/1860 à VIELPRAT 43, décédée le 06/01/1863 à VIELPRAT 43
MARIE ZOE, FRANCOISE JAC née le 01/04/1862 à VIELPRAT 43, décédée en 08/1944 à PRADELLES 43
MARIE JULIE JAC née le 21/01/1864 à VIELPRAT 43, décédée le 19/10/1948 à ALLEGRES 43
MARIE CLAIRE, VICTORINE, CLARISSE JAC née le 26/12/1866 à VIELPRAT 43
MARIE ANTOINETTE, ANASTASIE JAC née le 03/07/1867 à VIELPRAT 43, décédée le 10/12/1955 à ARLEMPDES
MARIUS CELESTIN, JEAN, LOUIS JAC né en 1869, décédé en 1926
MARIE JOSEPHINE, CHARLOTTE JAC née le 26/07/1870 à VIELPRAT - 43, décédée en 1922
MARIE JUSTINE JAC née le 02/04/1872 à VIELPRAT 43, décédée le 19/05/1872 à VIELPRAT 43
MARIE JULIE, GEORGETTE, JUSTINE JAC née en 1873, décédée le 07/03/1891
MARIUS AUGUSTIN JAC né en 1875, décédé en 1887
MARIUS CHARLES, HENRY JAC né le 05/10/1876 à VIELPRAT 43, décédé le 04/10/1959 à VIELPRAT 43
 
 
 

 Château de LABASTIDE - Vielprat 43 - Crédit photo JC DESTAGNOL- Archives année 1900
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